Phosphatidylsérine 60

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Les effets de la phosphatidylsérine sur la réponse endocrinienne à modérée exercice d'intensité Contexte Résumé Des recherches antérieures ont montré que la phosphatidylsérine (PS) supplémentation a le potentiel pour atténuer la réponse de cortisol sérique au stress de l'exercice aigu. les résultats équivoques suggèrent que cet effet pourrait être fonction de la dose. Cette étude visait à examiner l'influence de la supplémentation à court terme avec une dose modérée de PS (600 mg par jour) sur les concentrations plasmatiques de cortisol, lactate, l'hormone de croissance et de la testostérone avant, pendant et après l'exercice d'intensité modérée chez les hommes en bonne santé. Méthodes 10 sujets sains de sexe masculin ont participé à l'étude. Chaque sujet a été attribué à ingérer 600 mg PS ou un placebo par jour pendant 10 jours à l'aide d'un double-aveugle, contrôlée par placebo, la conception de croisement. Des échantillons de sang veineux en série ont été prises au repos, après 15 minutes d'intensité modérée protocole d'exercice sur un ergomètre cycle qui se composait de cinq 3 minutes étapes successives commençant à 65 et se terminant à 85 VO 2 max. et lors d'une récupération passive de 65 minutes. Des échantillons de plasma ont été évalués pour le cortisol, l'hormone de croissance, la testostérone, la testostérone et le lactate de taux de cortisol pour le traitement (PS ou placebo). Résultats Les concentrations moyennes de cortisol de pointe et l'aire sous la courbe (AUC) ont été inférieurs suivant PS (39 1 et 35 0, respectivement) comparativement au placebo (p 0,05). PS et le placebo supplémentation n'a eu aucun effet sur les niveaux d'hormones de lactate ou de croissance. Conclusion Les résultats suggèrent que le PS est un complément efficace pour lutter contre le stress induit par l'exercice et la prévention de la détérioration physiologique qui peut accompagner trop d'exercice. PS supplémentation favorise un statut hormonal souhaité pour les athlètes en émoussant l'augmentation des niveaux de cortisol. Contexte Phosphatidylsérine (PS) est un nutriment phospholipides d'origine naturelle qui est le plus concentré dans les organes ayant une activité métabolique élevée, tels que le cerveau, les poumons, le cœur, le foie et le muscle squelettique. PS se situe principalement dans la couche interne de la membrane cellulaire et a une variété de fonctions de régulation et de structure uniques. PS modulant l'activité des récepteurs, les canaux ioniques, des enzymes et des molécules de signalisation et est impliqué dans le gouvernement fluidité de la membrane 1. Traditionnellement, les suppléments PS ont été dérivées de cortex bovine (BC-PS), cependant, en raison du transfert potentiel des maladies infectieuses, PS de soja dérivés (S-PS) a été créé comme une alternative sûre 2. PS a été montré pour améliorer une variété de fonctions cérébrales qui ont tendance à diminuer avec l'âge de 3 ans. Dans des études récentes, PS a été montré pour améliorer l'humeur dans une cohorte de jeunes pendant le stress mental 4 et pour améliorer la précision lors de tee-off en augmentant les golfeurs insistent sur la résistance 5. le stress Une réponse excessive de cortisol à l'exercice-induite a été liée à un état de formation négative, ce qui pourrait conduire à trop loin ou surentraînement 6. Au cours des premières étapes de muscles surentraînement deviennent douloureux, submaximal et reposant augmentation de la fréquence cardiaque et les niveaux de testostérone tombent. Le corps a des difficultés à ajuster, mais habituellement récupère avec un repos de quelques jours. surentraînement chronique crée souvent une perturbation de l'équilibre anabolique-catabolique, ce qui peut se traduire par une diminution des performances, des blessures, l'immunité déprimée et la dépression psychologique 7. PS a été démontré pour accélérer la récupération, éviter la douleur musculaire, d'améliorer le bien-être, et peut posséder des propriétés ergogéniques chez les athlètes impliqués dans le cyclisme, la formation de poids et de l'endurance en cours d'exécution 8. PS a été signalé à être un complément efficace pour lutter contre le stress induit par l'exercice et la prévention de la détérioration physiologique qui accompagne trop d'exercice. BC-PS a été rapporté pour atténuer le cortisol sérique et réponses hormone corticotrope (ACTH) pour mise en scène du vélo d'exercice. 800 mg BC-PS supplémentation réduit la réponse du cortisol par 30, alors que 400 mg a montré aucun résultat significatif par rapport au placebo 9. En outre, 800 mg de S-PS a été rapporté pour réduire la réponse du Cortisol à un entraînement intensif de la résistance de 20 10. PS n'a eu aucun effet sur les niveaux de testostérone 10. Ces conclusions suggèrent que PS contrebalance en partie l'activation induite par le stress de la (HPA) axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien 11. Les études utilisant moins de 800 mg de S-PS supplémentation ont montré des effets bénéfiques sur les performances et les marqueurs de lésions musculaires. 750 mg de S-PS a entraîné une augmentation du temps de l'épuisement lors de l'étape du vélo intermittent exercice 12, et tend à améliorer sprint et exercice performances pendant la course intermittente exhaustive par rapport au placebo 13. 600 mg et 300 mg S-PS abaissé de manière significative les niveaux de créatine kinase 24 heures après une course de 90 min 14 cependant, aucune de ces études a montré un effet sur la réponse de cortisol, établir la dose efficace à 800 mg S-PS par jour pour un court demande - terme (1015 jours). Une étude récente a rapporté des effets positifs sur la réponse émotionnelle à un stress mental et émotionnel après la supplémentation d'un complexe de lécithine de soja. 400 mg par jour a donné lieu à un émoussement marqué de l'ACTH et de Cortisol des taux sériques par rapport au placebo encore, des doses plus élevées (600 mg et 800 mg) n'a pas donné les mêmes effets 15. Le but de l'étude était d'évaluer l'efficacité à court terme S-PS supplémentation, à des niveaux inférieurs à la dose actuellement établie de dosage, le cortisol, la testostérone, le lactate, et la réponse de l'hormone de croissance à aiguë exercice d'intensité modérée. Méthodes Sujets Dix hommes en bonne santé ont participé à cette étude. Tous les sujets de cette enquête ont participé à une séance de familiarisation. Au cours de la séance de familiarisation, les sujets ont été informés des procédures expérimentales, complété une forme personnelle / antécédents médicaux, et les déclarations de consentement éclairé signé à l'adhésion avec les sujets humains directives de l'American College of Sports Medicine. L'étude a été approuvée par le comité d'éthique de l'Université du Mississippi. Caractéristiques des sujets sont présentés dans le tableau 1. Aucun sujet dans ce procès était un végétarien avec tous les sujets consommant aurait la viande dans leur alimentation quotidienne. Caractéristiques des sujets (valeurs sont la moyenne SEM). Conception expérimentale Chaque participant a rempli trois séances d'essais au cours de l'étude de 21 jours. Les participants ont effectué un test d'exercice progressif (à partir de 50 W, ce qui augmente par incréments de 50 W toutes les 2 minutes) sur un ergomètre (Gary Fisher Tarpon OS Series Mountain Bike connecté à un modèle Pro Computrainer 8002 RacerMate EBRA Approuvé système avec la version logicielle 01/01/59 ) pour évaluer la consommation maximale d'oxygène (VO 2 max), et ont été prévues pour les sessions de test 2 et 3 (jour 11 et le jour 21). VO 2 max a été déterminée en utilisant un système Sensormedic V229 métabolique qui a été étalonné suivant les directives techniques recommandées (SensorMedics Corporation, Yorba Linda, CA). À la fin du test de VO 2 max les participants ont été assignés au hasard à l'un des deux groupes et ont reçu un approvisionnement de 10 jours, soit du placebo ou PS (600 mg par jour de PS de soja dérivés). Les deuxième et troisième séances d'exercices ont été effectués pour déterminer le cortisol, l'hormone de croissance, et les réponses de testostérone à l'exercice induite par le stress au repos, pendant l'exercice, et la récupération. Le dixième jour de la supplémentation les participants ont ingéré la dernière dose de la substance affectée (PS ou placebo) et rapporté au laboratoire à 7 heures après une nuit de jeûne. Des échantillons de sang veineux ont été prélevés à l'arrivée (-30) et 30 minutes plus tard, ce qui était juste avant le début de l'exercice (0). Après 30 minutes de repos, les participants ont été invités à commencer à exercer sur le ergocycle à une intensité d'exercice calculé pour provoquer 65 de VO 2 max. L'intensité de l'exercice a été augmentée automatiquement par 5 chaque incrément de 3 minutes jusqu'à ce que l'intensité était à 85 de VO 2 max (cinq-trois étapes minute). Après le vélo pour un total de 15 minutes, le sujet a cessé d'exercer et d'un post-exercice échantillon de sang veineux a été prise immédiatement. Le participant a ensuite été déplacé à une table d'examen pendant les 65 minutes restantes de la phase de récupération et des échantillons de sang veineux ont été prélevés à 5, 15, 25, 45 et 65 minutes après l'exercice (20, 30, 40, 60, 80). Pendant le repos, l'exercice, et la partie de récupération de l'étude du participant a été autorisé à la consommation de l'eau ad libitum. A l'issue de la première session expérimentale du participant a reçu un autre traitement de complément et a répété le protocole décrit précédemment 10 jours plus tard. Le PS et le groupe placebo (maltodextrine) suppléments ont été administrés sous forme de chocolat aromatisé comprimés à croquer qui ont été obtenus à partir de SwissCo Development AG (Sisseln, Suisse). Les sujets ont reçu un approvisionnement de 10 jours de chaque supplément après avoir terminé le test VO 2 max et la deuxième séance d'exercice. L'analyse de sang Les échantillons de sang en série ont été prélevés dans une veine du pli du coude et recueillis dans des tubes de 10 ml contenant de l'héparine de lithium, ensuite centrifugé et le plasma a été récolté. aliquotes séparées de plasma (500 l) ont été conservés congelés à -80 ° C avant l'analyse pour le cortisol, lactate et GH et testostérone libre. Les concentrations plasmatiques de cortisol et de testostérone ont été analysés en double par dosage immuno-enzymatique (EIA) et les concentrations de GH ont été analysés en double par immuno essai enzymatique (ELISA) en utilisant des kits commerciaux (Diagnostic Systems Laboratories, Inc. Webster, TX). Le YSI 1500 SPORT Lactate Analyzer (YSI Incorporated, Yellow Springs, OH) a été utilisé pour mesurer les concentrations de lactate de plasma en double. Analyse statistique Le programme statistique utilisé pour analyser les résultats des données de l'essai était la version du logiciel SPSS 10.0 pour Windows (SPSS Inc. Chicago, IL). La taille de l'échantillon a été basée sur la réponse de cortisol en utilisant une taille d'effet de 1,0, un niveau alpha de 0,05, et une puissance de .80. La détermination de la taille et l'effet taille de l'échantillon était approprié pour le nombre de traitements dans ce type de recherche et était compatible avec la recherche menée par Monteleone et al. 9, Fahey et Pearl 10 et Hinkle et al. 16. Avant et après la supplémentation des mesures d'essai ont été évalués pour le cortisol, la testostérone, le lactate, l'hormone de croissance à l'aide d'un double sens univariée mesures répétées analyse des variances (ANOVA) pour le traitement (soja PS, placebo) par le temps (-30, 0, 15 , 20, 30, 40, 60, 80 minutes). En outre, l'aire sous la courbe (AUC) a été calculée par le calcul intégral de la testostérone et de cortisol dans le but de déterminer la réponse totale et le rapport T / C. Un test t apparié élèves a été effectuée sur le rapport AUC et T / C. Résultats La figure 1 montre les effets de la S-PS ou placebo supplémentation sur le cortisol, la testostérone, le lactate et la réponse de l'hormone de croissance au stress induit par l'exercice à -30, 0, 15, 20, 30, 40, 60, et 80 minutes après l'exercice. Les concentrations maximales moyennes sont indiquées dans le tableau 2. Cortisol, la testostérone, le lactate et la réponse de l'hormone de croissance à l'exercice après 10 jours de traitement par voie orale avec 600 mg S-PS ou un placebo (phase de pré-exercice -30 à 0 minutes, la phase d'exercice: 0 à 15 minutes, la phase de récupération de 16 à 80 minutes). Les concentrations maximales moyennes (moyenne SEM). représente la différence significative (p 0,05) entre les groupes S-PS supplémentation ont abouti à d'importants niveaux inférieurs de cortisol plasmatique au début de l'exercice (p 0,002) par rapport au placebo. Les différences de testosterone (p 0,20) et les niveaux d'hormone de croissance (p 0,30) ne sont pas significatives. S-PS supplémentation concentrations de cortisol plasmatique réduite de 39 1 par rapport au placebo (effet du traitement: F 6,7, p 0,03 traitement effet d'interaction en temps: F 8.3, p 0,05). Les concentrations plasmatiques de testostérone ont augmenté avec S-PS (51 6) en comparaison avec le placebo cependant, des différences entre les groupes ne sont pas parvenus signification statistique de l'effet du traitement (F 2,79, p 0,13) et l'effet du traitement de l'interaction en temps (F 0,35, p 0,87) . L'exercice a donné lieu à une augmentation des niveaux de lactate dans les deux groupes, cependant, l'augmentation n'a pas atteint la signification statistique (effet du temps: F 5,41, p 0,06). Supplémentation n'a pas abouti à des différences significatives en réponse lactate entre le S-PS et le groupe placebo (effet du traitement: F 0,47, p 0,51 traitement effet du temps: F 1,62, p 0,34). De même, la supplémentation n'a pas influé sur les concentrations de l'hormone de croissance plasmatique (effet du traitement: F 2,49, p 0,15) ou le modèle de réponse (temps de traitement d'effet d'interaction: F 0,75, p 0,66). S-PS complémentation a donné lieu à un état physiologique favorable par rapport au groupe placebo. Aire sous l'analyse de la courbe (figure 2) a montré des différences significatives entre les S-PS et d'un placebo pour le cortisol (35 0 réduction, p 0,01), la testostérone (37 5 augmentation, p 0,02), et de la testostérone ratio de cortisol (184 5 augmentation, p 0,02, figure 2). S-PS a diminué de manière significative le cortisol (35 0, p 0,01) et l'augmentation de la testostérone (37 5, p 0,02) de l'ASC et de la testostérone pour le rapport de cortisol (184 5, p 0,02) par comparaison au placebo. Supplémentation de discussion avec 600 mg de S-PS par jour pendant 10 jours émoussées réponse du cortisol avant et pendant le stress induit par l'exercice. L'activation de la (HPA) axe hypothalamo-hypophyso-surrénalien a été proposée comme mécanisme par lequel PS émousse la production de cortisol. Les théories actuelles affirment que cela peut être accompli en modifiant éventuellement les interactions avec les ligands du récepteur du facteur de libération de corticotrophine ou (CRF), les interactions récepteur 17 20. En diminuant le CRF il y aurait une diminution de l'ACTH, ce qui diminue la sécrétion de cortisol. Il a été proposé le résultat d'un traitement chronique avec le PS modifie les interactions du récepteur du CRF réduit résultant en une activation de l'axe HPA après un stress 9. Une autre possibilité est que le stress induit par l'exercice aiguë influence la vasopressine sécrétagogue de l'arginine (AVP). Exercice de durée inférieure à 15 minutes et l'intensité qui dépassent 65 du pic de VO 2 max a été démontrée pour influencer AVP à un degré supérieur 21. 22. Par conséquent, une dose de 600 mg par jour de PS peut également inhiber la libération de l'AVP, ce qui diminuerait l'ACTH et de Cortisol par la suite. Alors que S-PS supplémentation a entraîné des réponses de cortisol plus bas que le placebo, il a été associé à des niveaux plus élevés de testostérone qui étaient dans la plage normale de 310 ng / ml pour les sujets de sexe masculin. Les résultats de cette étude des preuves de soutien de la recherche précédente que les niveaux élevés de cortisol nuisent biosynthèse mâle de la testostérone dans les testicules, ce qui pourrait aider à expliquer pourquoi l'ASC pour la testostérone plasmatique était plus élevée après la supplémentation en S-PS par rapport au placebo 23. 24. Comme S-PS supplémentation a augmenté l'ASC de la testostérone et une diminution de l'AUC pour le cortisol, la supplémentation a causé un impact positif significatif sur le rapport T / C des participants. Une réduction du ratio T / C a été signalé pour indiquer un état de surentraînement ou de l'état négatif, alors une élévation du rapport T / C semble indiquer un état plus positif 7. 25. La phase S-PS avaient des niveaux de cortisol AUC était significativement inférieure à celle de la phase placebo. Par conséquent, S-PS supplémentation a donné lieu à ce qui pourrait être considéré comme un état physiologique positif 15. Les résultats de cette étude suggèrent que 600 mg / j de S-PS pourrait avoir le potentiel pour éviter un état de surentraînement. Toutes les recherches appuie ces conclusions. Dans une enquête récente en observant les effets de S-PS sur le stress oxydatif suivant fonctionnement intermittent, la réponse du cortisol n'a pas été atténuée 13. Les principales différences entre cette enquête et les études précédentes sont l'intensité de l'exercice et la dose quotidienne utilisée lors de la supplémentation. Des études antérieures utilisées niveaux de stress jusqu'à un 85 pic de VO 2 max tandis que cette étude a souligné les individus à l'épuisement 13. Cela donne à penser que l'administration de la phosphatidylsérine peut avoir un effet de vitesse limitée qui est fonction du niveau d'intensité qui indique que l'effet est basé sur une amélioration nutritionnelle plutôt qu'à un effet pharmacologique. Phosphatidylsérine a été montré pour améliorer l'activité enzymatique 26 en améliorant la fluidité de la membrane et de la composition 27. PS joue un rôle important dans le maintien de l'excitabilité neuronale et le transfert de message qui pourrait entraîner une réduction des besoins de stimulation adrénergique à des niveaux d'exercice d'intensité modérée. Les GH et lactate résultats de cette étude sont conformes aux conclusions de la littérature précédente 9. 10. les réponses de l'hormone de croissance variaient peu et ne sont pas significativement différents entre le S-PS et la phase placebo. Ceci suggère que le mécanisme qui influe sur la dynamique de l'axe hypophyso-hypothalmo en ce qui concerne la libération de GH semble ne pas être affectée par l'administration du PS. L'exercice a provoqué une augmentation des concentrations plasmatiques de lactate pendant les deux essais et la supplémentation n'a pas influencé ces concentrations par conséquent, les participants exercé à des charges de travail similaires au cours des deux phases de l'étude. Le potentiel de PS en tant que stratégie nutritionnelle alternative pour les troubles qui sont associés à cortisol surproduction n'a pas été étudiée, ce qui suggère qu'il existe un besoin de poursuivre les recherches dans l'utilisation du PS comme une aide potentielle pour le surentraînement et comme une aide dans l'exercice activités connexes. En outre, cette étude, ainsi que la littérature précédente, démontre que le PS peut influer sur la fonction neuroendocrine par conséquent, la possibilité existe que le PS pourrait être un nutriment bénéfique dans des conditions telles que l'obésité et le diabète de type 2. Conclusion PS supplémentation avec 600 mg par jour pendant 10 jours émousse la réponse du cortisol au stress induit par l'exercice. En outre, PS augmente significativement la testostérone au rapport de cortisol. Ces résultats suggèrent que le PS est un complément efficace pour lutter contre le stress induit par l'exercice. PS supplémentation favorise l'équilibre hormonal souhaitable pour les athlètes et pourrait atténuer la détérioration physiologique qui accompagne le surentraînement et / ou surexploiter. Déclarations Remerciements Les auteurs tiennent à remercier Increnovo LLC, Milwaukee, WI, Etats-Unis pour le financement de la recherche et Chemi Nutra, White Bear Lake, MN, États-Unis, pour le financement de la publication de manuscrits. Tous les kits de dosage d'hormones ont été fournies par Robert H. Coker, Ph. D. Université de l'Arkansas pour les sciences médicales Donald W. Reynolds Institut sur le vieillissement grâce à une subvention financée par l'American Heart Association. Auteurs fichiers soumis originaux pour les images ci-dessous les liens vers les auteurs originaux des dossiers soumis pour les images. Increnovo LLC 2138 E Lafayette Pl, Milwaukee Références Pepeu G, Pepeu IM, Amaducci L: Un examen de la phosphatidylsérine pharmacologique et les effets cliniques. Est-phosphatidylsérine un médicament pour le vieillissement du cerveau. Pharmacol Res. 1996, 33: 73-80. 10.1006 / phrs.1996.0013. 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